Et pourtant nous savions que nous étions une société, une SAS, gérée par le droit des sociétés. Nous avions sué sur la rédaction de nos statuts, fêté leur dépôt dans les règles.
Mais nous gardions notre fonctionnement pépère d’association, où on rentre quand on veut, on sort quand on veut, où tout le monde participe au vote.
Hier soir nous avons perdu notre innocence dans des histoires invraisemblables de signatures, de procurations (données) de quorum (attend), de votes au 2/3 (unanimes) et de procès verbaux.
La phase du jour :
Est ce qu’on crée un carnet rose sur le site Internet ? Non, juste un carnet noir, pour prévenir les gens quand une place se libère.